ingrats, on obtient encore des profits supérieurs à ceux du commerce ou des manufactures . Dès lors (en supposant ces terres inférieures d’une étendue suffisante) les profits agricoles sont forcés de se régler sur ceux des derniers que l’on a versés sur les terres. C’est ainsi que prenant le taux des profits à l’origine du progrès divitial, on reconnoitra que les profita non aucune tendance à diminuer. Ils haussent avec la population croissante, jusqu’au point où les profita agricoles ont tellement cru qu’ils peuvent éprouver (par des cultures nouvelles) une diminution notable, sans redescendre jamais au-dessous de leur taux primitif, ou (pour parler plus exactement) au-dessous du taux moyen déterminé par diverses circonstances.» ( ibidem , pp. 190-192)
94. «Les terres de qualité inférieure… ne sont mises en culture que lorsqu’elles rendent des profita égaux ou supérieurs à ceux des capitaux industriels. Souvent, dans ces circonstances, malgré les nouvelles cultures, le prix du blé et des produits agricoles reste encore fort élevé. Ces hauts prix gênent la population ouvrière, parce que la hausse des salaires ne suit pas exactement celle du prix des objets de consommation à l’usage des salariés. Ils sont plus ou moins à charge à la population tout entière, parce que presque toutes les marchandises sont affectées de la hausse des salaires et de celle du prix des objets de première nécessité. Cette gêne universel!, jointe à la mortalité qu’occasionne une population surabondante, amène une diminution dans le nombre des salariés, et de suite une hausse dans les salariés et une baisse dans les profita agricoles. Dès lors toutes les opérations ont lieu en sens inverse des précédentes. Les capitaux se retirent des terres inférieures et se reversent sur l’industrie. Mais le principe de population agira bientôt de nouveau; dès que la misère aura cessé, le nombre des ouvriers croîtra, leur salaire diminuera, et en conséquence les profits hausseront. Une suite de telles oscillations doit avoir lieu, sans que les profits moyens en soient affectés. Us peuvent par d’autres causes hausser ou baisser, ou par cette cause même, ils peuvent changer alternativement en sens contraire, sans que leur baisse ou leur hausse moyenne puisse être attribuée 3 la nécessité d’entreprendre de nouvelles cultures. La population est le régulateur, qui rétablit l’ordre naturel et, contient les profits entre certaines limites.» ( ibidem , pp. 194-196)
95. «… disputes… are entirely owing to the use of words in different senses by [498] different persons; to the disputants looking, like ths knights in the story, at different sides of the shield.» («Observations on certain Verbal Disputes in Political Economy…», Londres, 1821, p. 59-60)
96. «There is an obvious difficulty in supposing that labour is what we mentally allude to, when me talk of value or of real price, as opposed to nominal price; for me often want to speak of the value or price of labour itself . Where by labour, as the real price of a thing, we mean the labour which produced the thing, there is another difficulty besides; for we often want to speak of the value or price of land ; but land is not produced by labour. This definition, then, will only apply to commodities …» ( ibidem , p. 8)
96. « … the value or price of land …» (ibidem, p. 8)
97. «If we say, then, with Mr. Ricardo, that labour is at every moment tending to what he calls its neutral price, we must only recollect, that the increase made in its supply, in order to tend to that , is itself one cause of the counteracting power, which prevents the tendency from being effectual .» ( ibidem , pp. 72-73)
97. «… it is not meant to be asserted by him, that two particular lots of two different articles, at a hat and a pair of shoes, exchange with one another when those two particular lots were produced by equal quantities of